Le 9 septembre 2025, les élèves de la classe de Monsieur Damien se sont rendus au Musée du Folklore afin de découvrir les métiers du passé.
Ils ont pu ainsi découvrir :
Le raccommodeur de porcelaine. Comme les objets en céramique étaient assez chers, il était d’usage courant de les faire réparer pour leur donner une nouvelle vie. Le raccommodeur utilisait alors des agrafes, un burin ou encore des attaches.
Le balotil. Le tricotage se faisait d’abord à la main puis à l’aide d’un balotil qui était à la fois le nom de la machine à tricoter et de l’ouvrier qui s’en servait. Il bobinait, c’est-à-dire qu’il enroulait le fil sur une bobine.
Le tisserand : Il travaillait les fils pour confectionner de grandes pièces de tissus. Il lui fallait aussi beaucoup de patience car le tissu se travaillait fil par fil au travers de la trame. Pour exercer son métier, il utilisait la navette, les fils de chaine et de trame et la canette.
Le maréchal ferrant : Il travaillait le métal dans sa forge. Il activait son feu avec un soufflet afin d’obtenir des braises. Ensuite, il y plaçait les pièce de métal qu’il fallait travailler. Une fois chauffées à blanc, le maréchal les martelait sur son enclume pour les façonner. Une fois terminées, les pièces de métal étaient plongées dans un bain d’eau froide pour garder leur forme définitive. Le maréchal ferrant possédait comme objets un soufflet, une enclume et un foyer.
Le friturier : Les frites doraient dans des chaudrons en fonte et étaient vendues par cet homme, toujours vêtu d’un grand tablier blanc, dans des cornets de papier. Il utilisait un écumoire, une friteuse ou encore une salière.
L’imprimeur: L’imprimerie permet la reproduction d’écrits et d’illustrations en grande quantité. L’imprimeur possédait une presse à bas, des lettres métalliques de typographe mais aussi un rouleau encreur.
Un belle découverte de vieux métiers qui, pour certains, n’existent plus de nos jours.
Texte écrits par Kylie et Aline (Atelier du jeudi)